• Haruhi Suzumiya est une lycéenne excentrique, dont le seul but dans la vie est de rencontrer des personnes de type paranormal, tels que des extraterrestres, des voyageurs dans le temps ou des médiums. Les phénomènes surnaturels, étranges ou mystérieux l'attirent et inversement les gens normaux l'indiffèrent.

    Kyon est quant à lui un jeune lycéen devenu terre à terre après avoir réalisé que tous ces phénomènes paranormaux n'existent pas.

    Les deux personnages se retrouvent dans la même classe et deviennent amis malgrés leurs différences. Sous l'impulsion d'Haruhi, ils créent un club, la brigade SoS, dont la finalité plus ou moins secrète est l'étude des phénomènes surnaturels. Kyon suit malgré lui Haruhi dans toutes ses fantaisies, et ils seront vite rejoints par trois autres camarades de lycée embrigadés par Haruhi. Très vite il s'avère que les trois recrues ne sont pas tout à fait là par hasard...

    • Nombre d'épisodes: 14

     

     


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    Vocabulaire

     

    趣味
    音楽
    映画
    名前

    よく
    読みます
    聞きます
    見ます
    Shumi
    Ongaku
    Eiga
    Namae
    Kuni
    Yoku
    Yomimasu
    Kikimasu
    Mimasu
    Passe-temps
    Musique
    Film
    Nom
    Pays
    Souvent
    Lire
    Ecouter
    Regarder/Voir

    Ecriture

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Prononciation

    • N’oubliez pas que dans les verbes finissant par -su (す) le son “su” se prononce “ss”.

    Texte

     

    鈴木さん:
    スミスさんの趣味は何ですか。

     

    スミスさん:
    私の趣味は音楽を聞くことです。

    鈴木さん:
    そうですか。私の趣味は本を読むことです。小林さんは。

    小林さん:
    よく映画を見ます。

    Suzuki san:
    Sumisu san no shumi wa nan desu ka.

     

    Sumisu san:
    Watashi no shumi wa ongaku wo kikukoto desu.

    Suzuki san:
    Sou desu ka. Watashi no shumi wa hon wo yomukoto desu. Kobayashi san wa.

    Kobayashi san:
    Yoku eiga wo mimasu.

    Mr. Suzuki:
    Quel est votre passe-temps Mr.Smith?

     

    Mr.Smith:
    Mon passe-temps c’est d’écouter de la musique.

    Mr. Suzuki:
    Ah oui? Mon passe-temps c’est de lire des livres. Et vous Mlle Kobayashi?

    Mlle Kobayashi:
    Je regarde souvent des films.

    Grammaire

    La forme en -masu

    Mis à part です, les verbes se finissent tous par -masu. Cette forme correspond au présent et au futur en français.

     
    La particule を (wo/o)

    —  は —  verbe
    wa — wo verbe

    La particule se place devant le verbe, elle sert de connexion entre le verbe et le complément d’objet direct.

     

    - 鈴木さん読みます。
    - Suzuki san wa hon wo yomimasu.
    - Mr. Suzuki lit un livre.

    - スミスさん音楽聞きます。
    - Sumisu san wa ongaku wo kikimasu.
    - Mr. Smith écoute de la musique.

     
    La forme en -koto

    Dans certains cas l’infinitif français se traduit par l’infinitif du verbe japonais + こと (koto).

    読みます 読むこと
    Lire
    Yomimasu Yomu koto
    聞きます 聞くこと
    Ecouter
    Kikimasu Kiku koto
    見ます 見ること
    Voir / Regarder
    Mimasu Miru koto

     

    - 私映画を見ます。
    - Watashi wa eiga wo mimasu.
    - Je regarde un film.

    - 私趣味映画を見ることです。
    - Watashi no shumi wa eiga wo mirukoto desu.
    - Mon passe-temps c’est regarder des films.

    Remarque: Plus d’informations sur l’infinitif leçons 13 et 14.

     
    何 (nan) : quel

     

    - あなたの名前はですか。
    - Anata no namae wa nan desu ka.
    - Quel est ton nom?

    Lecture

     

    Hiragana Katakana



    ku
    ka
    o/wo
    yo

    -
    -
    -
    mi
    -
    -
    -

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  • Pancarte d’amitié nippo-coréenne brandie devant un cortège d’extrême droite, juin 2013 (Alissa Descotes-Toyosaki)

    Depuis février 2013, à Shin-Okubo, le quartier de Tokyo à forte immigration coréenne, manifestants d’extrême droite et contre-manifestants s’opposent chaque dimanche.

    Une bataille en rang d’oignons arbitrée par un déploiement impressionnant de forces de l’ordre. Malgré cela, des heurts ont causé des arrestations des deux côtés, ouvrant le débat sur la légitimité de ces défilés.

    Les manifestations d’extrême droite ont toujours existé au Japon mais l’incitation à la haine raciale en public est la mauvaise surprise de cette année 2013. En l’absence de lois contre le racisme, la population a décidé de réagir.

    « Tuez-les ! Tuez-les ! »

    Depuis cinq mois, Lee Shinne, une Coréenne née à Osaka, se réunit avec ses amis à Shin-Okubo. Autour de la gare, des associations nippo-coréennes font signer des pétitions tandis que sur la grande avenue, des forces de l’ordre bloquent le passage de toutes les rues adjacentes.

    Sur le Net, un groupe assimilé à « Zaitokkai », la « ligue qui rejette les privilèges des étrangers au Japon » a enjoint ses 13 000 membres à se regrouper à Shin-Okubo pour « nettoyer » le quartier. Shinne se souvient de la première fois que ce groupe a commis l’escalade de la haine :

    « C’était en février dernier. Une centaine d’extrémistes se sont introduits dans une ruelle commerçante connue pour ses magasins de K-pop (Korean pop music). Ils souriaient en brandissant sous le nez des gens des panneaux d’une violence inouïe en criant “Tuez-les ! Tuez-les !” Il y avait un poste de police à côté, mais ils laissaient faire. J’ai couru me réfugier dans un restaurant, malgré mon âge je ne pouvais plus m’arrêter de pleurer. »

    Journaliste d’une quarantaine d’années, Shinne est habituée à la violence verbale sur Twitter, mais jamais en direct. Kim Duck Ho, le patron du restaurant où elle s’est réfugiée, a pris des photos de cette manifestation.


    février 2013 à Shin-Okubo (Kim Duck Ho)

    « J’ai pensé ce jour-là qu’il fallait leur faire face mais sans violence. Les Coréens sont très paisibles, mais ils ont le sang chaud et les Zaitokkai le savent. Ils n’attendent qu’une chose, c’est qu’on leur cogne dessus pour se faire passer pour des victimes.“ 

    Pas de loi pour porter plainte

    Né à Séoul, Kim tient un restaurant coréen depuis 15 ans dans le quartier. Très populaire, le ‘Ozakyo’était le temple des fans de K-pop courtisé par les médias japonais.

    Pourtant depuis que l’atmosphère générale s’est chargée peu à peu de peur et de méfiance envers la Corée – sur fond de polémiques autour des îles Takeshima ou des femmes de réconfort –, Kim a perdu la moitié de son chiffre d’affaires.

    ‘Je ne suis pas le seul. Tous les commerçants subissent la pression. Nous recevons des appels anonymes dix fois par jour, nous encaissons les injures racistes et les menaces depuis six mois. Il y a pas de loi, donc nous ne pouvons pas porter plainte.’

    Le boom de la K-pop avait fait des miracles depuis les années 2000 pour le rapprochement culturel des deux pays. Les jeunes Japonaises ne juraient que par les stars coréennes et allaient passer leur week-end à Séoul, tandis que les séries télévisées contant les frasques historiques du pays du Matin calme faisaient un tabac. Le quartier de Shin-Okubo est devenu un vrai ‘little Korea’, toujours plein de jeunes. A présent, c’est un quartier jugé dangereux.

    Le groupe de K-pop ‘Exo’

    Un autre coréen, Kim Jeong Chik, ne cache pas son inquiétude : 

    ‘Sans loi, la police ne sait pas comment intervenir pendant les manifestations. A ce stade, qui peut garantir la sécurité de la population ?’

    Yusuke Ueda, un interprète nippo-coréen, fait remarquer que la mise en place d’une loi prendrait des années. Et que le gouvernement pourrait en profiter pour s’attaquer à la liberté d’expression en général, comme il l’a déjà fait avec la loi anti-danse.

    Concert de doigts d’honneur

    Terrés dans une rue arrière, les contre-manifestants piétinent devant un barrage de police. Brusquement, on entend au loin les haut-parleurs des Zaitokkai hurler contre les colonisateurs du Japon, les Coréens. 

    Quand enfin le défilé extrémiste arrive sur la grande avenue, ils sont accueillis par un concert de doigts d’honneur et de ‘Cassez-vous ! Retournez croupir dans les trous du Net !’. Les antifas sont partout.


    Membres du collectif ‘Shit-back that racist’ , juin 2013 (Alissa Descotes-Toyosaki)

    Les deux processions marchent en parallèle. Entre les deux, le dispositif de police interdit à quiconque de traverser.

    Depuis que la mobilisation antiraciste s’est mise en place, les Zaitokkai ont baissé le ton et ne montrent plus des pancartes de haine raciale. Une victoire pour les membres du collectif ‘Shit-back that racist, qui se félicite aussi d’avoir pu dévier leur trajectoire hors des rues commerçantes. Ils sont quelques centaines contre une cinquantaine d’extrémistes. 

    En fin d’après-midi, le funèbre cortège drapé de l’étendard de l’armée impériale traverse le grand centre de Shinjuku, toujours suivi des antifas. Un passant dit avec nonchalance :

    ‘Je ne peux pas juger, chacun a le droit d’avoir ses positions. Moi j’aime les étrangers, mais eux ont peut-être leurs raisons de les détester. 

      

    Il y a des vieux en uniforme de soldats impériaux, des jeunes au look heavy metal, des jeunes femmes habillées sexy avec des faux-cils, et Monsieur Tout-le-monde. Toujours escortés par la police, les manifestants se regroupent dans un parc puis en ressortent sans drapeaux ni pancartes. Alors qu’ils se fondent dans l’anonymat de Tokyo, un homme sort d’un bar à côté et les poursuit avec une bière a la main :

    Bande d’enfoirés !’


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    Nom réel Kim Hyeon A
    Nom alternatif Kim Hyun A / Kim Hyeon Ah / Kim Hyun Ah
    Nom original 현아 / 김현아
    Nationalité Corée du Sud Sud-coréenne
    Date de naissance 06/06/1992
    Age 21 ans
    Statut en activité
    Début 2007
    Genres Acteur
    Choriste
    Compositeur
    Dance
    Electro
    K-Hip-Hop
    K-Pop
    Mannequin
    Parolier

    Kim Hyeon A plus connue sous le nom de scène Hyun A est une idole, chanteuse, rappeuse, danseuse, mannequin, actrice et choriste sud-coréenne née dans la province de Jeolla en Corée du Sud. Elle est également à certaines occasions compositrice, parolière et designer. Elle est produite par Cube Entertainment depuis 2009, et étudie actuellement à l'université de Konkuk (Konkuk University).

    Hyun A est à ce jour l'une des idoles sud-coréennes les plus populaires de sa génération, et est connue principalement pour avoir été membre des Wonder Girls mais aussi du groupe 4minute depuis 2009, et plus récemment du sous-groupe Trouble Maker en parallèle d'une carrière solo qui a débuté en 2010. De par ses nombreuses activités en dehors de son groupe principal, 4minute, elle a également participé à des projets temporaires avec les unités suivantes à savoir : 4Tomorrow, Faddy Robot et Dazzling RED.

    Elle évolue notamment dans les styles musicaux tels que le hip-hop, l'électro-dance et la pop, et définit ainsi sa musique comme étant "une musique orientée vers la performance".

    Discographie en Vrac

    • 2010 : Change
    • 2011 : Bubble Pop!
    • 2012 : Oppa is Just my Style
    • 2012 : Ice Cream
    • 2013 : My Color

     


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    • Titre alternatif : いつか陽のあたる場所で (Itsuka Hi No Ataru Basho De) / Someday, Some Place Where The Sun Shines
    • Genre : Famille
    • Diffusion : 8 Janvier 2013 au 12 Mars 2013
    • Chaîne de retransmission : NHK
    • Nombres d'épisodes : 10
    • Durée : Environ 48 minutes par épisode.
    • Casting : Ueto Aya, Daito Shunsuke, Maeda Gin, Ryu Raita, Saito Takumi, Asano Atsuko, Enami Kyoko, Fujita Tomoko, Iijima Naoko, Matsukane Yoneko
    • Synopsis : Ce drama est une adaptation du roman du même nom, écrit par Nonami Asa, publié en 2007. Condamnée à sept ans de prison pour vol, Hako rencontre Ayaka, derrière les barreaux pour le meurtre de son mari violent et abusif. En raison de leur passé commun, elles deviennent rapidement amies et décident de s’entraider à la sortie du pénitencier. Elles s’installent alors dans le quartier de Yanaka, à Tôkyô, et tentent de cacher envers et contre tout leurs secrets, afin de se reconstruire. Mais un jour, le frère d'Hako lui rend visite, et lui dit "Je vais me marier, et je souhaite que ton nom soit effacé du registre familial".


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